wpd et Noé : 3 ans d’engagement pour les pollinisateurs sauvages

Depuis trois ans, nous menons avec l’association Noé un programme scientifique unique pour mieux comprendre et protéger les pollinisateurs sauvages sur nos parcs éoliens et solaires. En 2024, l’initiative s’étend avec cinq nouveaux sites, portant à neuf le nombre de parcs concernés.

Apporter des données scientifiques pour des actions ciblées

Grâce à une méthodologie rigoureuse – suivis mensuels, échantillonnages par assiettes colorées – des experts indépendants analysent l’impact des parcs sur les pollinisateurs. Ces données permettent d’optimiser les mesures écologiques et d’adapter la gestion des habitats aux espèces observées.

 

Au-delà du suivi scientifique, nous agissons sur le terrain : prairies fleuries, haies multi-strates d’espèces locales, aménagements favorisant la diversité végétale… Autant de solutions pensées avec Noé et des spécialistes pour offrir une ressource alimentaire continue aux pollinisateurs.

Cette démarche s’inscrit dans une vision plus large : intégrer la biodiversité au cœur des projets d’énergies renouvelables. Avec Noé, nous affinons nos pratiques d’aménagement pour faire de nos sites des refuges pour la biodiversité.

En avril 2024, avec Noé, nous avons lancé à Ménil-la-Horgne une quête participative pour recenser cinq espèces de pollinisateurs. Les habitants contribuent en photographiant ces insectes jusqu’en septembre afin de mieux connaître et préserver la biodiversité locale.


Fin 2024, nous avons présenté notre partenariat à la Sepant 37 et Nature Environnement, les invitant à se joindre à nous dans la réflexion pour définir ensemble les mesures à mettre en place sur l’un de nos parcs solaires en développement.


En 2024, avec le CPIE de l’Aisne, nous avons sensibilisé les jeunes aux pollinisateurs sauvages via des ateliers interactifs et une chasse aux pollinisateurs, ils ont découvert les enjeux écologiques locaux et l’importance de préserver la biodiversité.